* Für Ewigkeit *

Haaaaaaaaan comment que j'adore trop ! ( tu le sais déjà sa !! )
Méeuuh pourquoi du suspence !! M'en fiche j'vais te faire dire la suite moua comme on est sur msn ! xD

It's wonderful !!!
J'exagères pas là !
C'est magnifique !
La suiteee, pleaseee ^^

KAPITEL SECHS : Das Ende vom Anfang

Hell,

Dans la vie on fait beaucoup d’erreur. Je crois que j’en ai fait une. Pas plus tard que hier soir. Non. Non, je ne regrette en aucun cas ce qu’il s’est passé. Je l’ai voulu, j’en avais envie. J’ai passé une soirée formidable. Et la nuit… Tu m’as tellement touché cette nuit. Tes mots, ta vie m’ont émue. J’aurais aimé que la nuit, où je t’avais dans mes bras, que cette nuit là se prolonge. Mais voilà, dans la vie on ne fait pas toujours ce que l’on veut. Les événements font qu’il se passe bien des choses, mais le lendemain, alors que le jour se lève, la réalité reprend le dessus. Ce matin elle m’a rattrapé. Je t’ai regardé dormir. Dieu ce que tu étais belle. Une poupée en porcelaine que l’on a envie de protéger de peur qu’au moindre coup de vent elle ne tombe et se brise en mille morceaux. J’aurais tellement voulu être celui qui te protége de tout tes maux. Mais ce n’est pas possible. Notre histoire ne peut être autre que celle de deux amis. On a été trop vite.

Ne m’en veux pas.

Georg

Hell est là, assise au milieu de son lit. Le visage fixe, dénué de toute expressions, de toute émotions. Cette lettre, elle l’a trouvé sur l’oreiller à côté du sien, vide de la présence de Georg. Elle ne comprend pas. Qu’a-t-il bien pu se passer pour que tout bascule

Elle repasse toute la soirée dans sa tête. Elle se souvient des paroles échangées, des gestes, des baisers. Elle se souvient de cette nuit dans ses bras. Elle se souvient lui avoir raconté sa vie, ses combats, ses souffrances. Elle se souvient qu’il lui avait raconté sa vie à lui, son parcours. Elle se souvient… Elle ne peut pas avoir rêvé. Tout cela c’est bel et bien passé. Cette nuit les avait liés, ils savaient que quelque chose s’était passé. Comment avait-elle pu s’attacher ? Comment tout ce qu’elle peut ressentir avait pu s’installer en elle en une seule soirée ?

Hell est perdue. Hell ne se reconnaît plus.

Le problème maintenant c’est qu’elle s’est imprégnée de la chaleur de ses bras, de la douceur de ses bisous, de sa tendresse, de sa sensibilité… Cet homme, bizarrement, l’avait touché en plein cœur. Il a réussi à lui faire oublier son passé, il a calmé ses angoisses face à l’avenir. Cet homme a su la protéger de ses maux. Seul dans ses bras elle oubliait tout. Tout. Le monde autour. Elle se sentait tellement en sécurité avec lui. Lui. Georg.

Voilà… Elle est tombée amoureuse.

Mais pour Hell, ce n’est pas possible. On ne peut pas tomber amoureuse en si peu de temps. Hell n’a jamais voulu y croire, et pourtant c’est arrivé. A elle. Elle qui ne croyait plus en rien. Et surtout pas à l’Amour. Mais les faits sont là. Elle est amoureuse. Hell est amoureuse. Amoureuse. Amou…

* … reuse. Amoureuse. Je suis … *

Hell : Amoureuse.

C’est alors qu’elle ne pu retenir ses larmes. Elles sont d’abords silencieuses, puis de plus en plus bruyantes. Elle pleure à chaude larme parcourue de sursauts.
Tom entre dans sa chambre et se stoppe net en la découvrant en pleurs.

Tom : Hell, qu’est-ce qui t’arrives ?

Il s’approche d’elle et la prend dans ses bras.

Tom : Chut princesse… chut… calme toi.[
La voix de Tom l’apaisait. Elle laisse bercer.
Hell : Jamais donc, je ne serais heureuse ?
Tom : Pourquoi dis-tu ça ?
Hell : Lis cette lettre…
Tom l’a prise. Il l’a lu. Sans un mots. Il savait très bien. Il avait surpris une conversation. Bill & Georg. Il n’avait pas compris pourquoi Bill ne voulait pas que ces deux là forment un couple. Il comprenait pourquoi Georg lui avait écrit ça. Mais devait-il en parler à Hell. Elle avait l’air si malheureuse. Et hier… Hier Hell était heureuse. Tom au fond de lui avait mal. Mal de la voir dans cet état. Sa sœur. Sa sœur de cœur pleure pour l’un de ses meilleurs amis. Il est sur pourtant que Georg n’était pas indifférent. Georg n’est pas comme lui. Ce n’est pas un dragueur. Il n’aime pas les coups d’une nuit. Il flirte. C’est normal. Mais rien de plus. Alors pourquoi Bill l’a-t-il menacé comme cela ce matin ? Georg n’avait pas eu d’autre choix que d’écrire cette lettre à Hell. A contre cœur. Tom savait qu’ils auraient pu être heureux ensemble. Hell & Georg. Il sentait que Georg aurait pu protéger Hell. Qu’il aurait pu lui redonner le sourire. Ce sourire si sincère. Rempli de chaleur.
Tom devait parler à Bill. Hell a le droit d’être heureuse.
Tom l’écoute décortiquer chaque amères secondes d’une histoire déjà fini avant même d’avoir commencé.

[ … ]

[ Point de vue de Hell ]

Les garçons ont dû partir à leur répétition. Je reste seule. Seule avec moi-même. Seule face à mes larmes et mes sentiments. Je haie ses sentiments. Je ne dois pas les éprouver. C’est trop dur. Ca fait trop mal. Amoureuse. Quelle idée idiote. Jamais je n’aurais dû jouer à ce jeu. Jeu stupide. On perd toujours à la fin. Je n’aime pas perdre. J’ai toujours été mauvaise perdante. Encore plus aujourd’hui. Ce jeu de l’amour et du hasard. Le hasard a voulu que l’amour me tombe dessus. Mais je n’en veux pas. Je n’en veux pas parce que je souffre. Ca fait mal d’être amoureuse. Surtout quand lui ne veux pas de toi… Un jeu qui se joue à deux. Deux... Et pourtant aujourd’hui je me retrouve seule pour y jouer. Ce n’est pas possible. Game Over. La partie est finie.

Il faut que je sorte de cette maison. Je dois prendre l’air. Machinalement je me dirige vers le parc. Je marche. Je marche sans but. Mais je marche.
Je m’arrête.
Je m’assoie sur cette pierre froide.
Et je regarde le monde.
J’observe les gens.
Je les regarde vivre.
Ils vivent autour de moi.
Sanss me voir.

Ils marchent, ils rient, ils pleurent, ils sourient, ils marchant, ils souffrent, ils se relèvent, ils tombent, ils espèrent, ils pleurent, ils aiment, ils rêvent, ils meurent, ils sourient, ils parlent, ils tombent, ils se relèvent, ils reculent, ils fument, ils avancent, ils souffrent, ils haïssent, ils marchent, ils pleurent, ils sourient, ils font l’amour, ils tournent en rond, ils aiment, ils marchant, ils boivent, ils abandonnent, ils se relèvent, ils marchant, ils pleurent, ils s’aiment, ils rient, ils dansent, ils espèrent, ils souffrent, ils rient, ils se moquent, ils oublient, ils marchent, ils rient, ils pleurent, ils sourient, ils marchent, ils vivent, ils vivent, ils vivent… Mais ils vivent sans moi. Ils continuent à avancer, et moi j’ai arrêté de les suivre.

La nuit commence à tomber et je suis toujours là. Assise. J’observe. Je pense. Je réfléchis.
Le vibreur de mon portable me sort de mes rêveries. Tom me demande de les retrouver à la maison.

Une fois rentrée, les garçons m’apprennent qu’on sort ce soir. Et oui je ne peux pas y échapper. Ils vont fêter le succès de leur dernier disque. Je n’ai pas envie de sortir. Ni de me retrouver face à Georg. Mais je n’ai pas le choix. Bill et Tom sont heureux que je vienne avec eux. Je ne peux pas leur faire ça.

Tom veut me changer les idées. Apparemment il ne doit pas avoir parler à Bill.
J’ai peur. Peur de le revoir.
Que va me réserver cette soirée ?

[ … ]

A l’intérieur de la boite, la soirée bat son plein. Nous avons tous plus ou moins bu. L’ivresse se fait sentir. Nous avons bu, certes, mais pour différentes raisons. Bill, Tom, Georg pour s’amuser. Gustav ? Gustav lui n’a pas bu. Et moi… Je bois pour oublier la vision de Georg dansant avec cette fille. Pour oublier la vision de Georg embrassant cette fille.
Putain que ça fait mal… Alors je bois, je bois pour oublier… Pour oublier que j’ai mal. Pour oublier que je l’aime.
Alors que je m’enfile mon énième verre, un jeune homme s’approche. Charmant. Mais il n’est pas lui. Il vient me parler. Je lui réponds. Je ne sais pourquoi je le laisse m’entraîner sur la piste de danse. On danse. Je le laisse me guider. Je me laisse faire. Je n’ai pas la force, ni morale, ni physique, de protester. Il m’embrasse … Je ne contrôle plus rien. Ni mes pensées, ni mes mots, ni mes gestes. Rien. Avant que je n’aie eu le temps de faire quoi que ce soit, je sens quelqu’un me bousculer. Un poing s’abat sur le visage du jeune homme avec qui je dansais un moment plus tôt.
Georg : Tu ne touches pas à ma copine !
Je dois halluciner là… Pourquoi Georg l’a-t-il frappé ? Pourquoi lui a-t-il dit ça ?
Hell : Non mais t’es pas un peu malade toi ?! Depuis quand je suis ta copine ? Tu passes la soirée avec une meuf, tu l’embrasses devant mes yeux et maintenant tu viens me faire chier ? Mais t’as un problème je crois !
Je ne pouvais pas en supporter d’avantage et je pris alors la fuite. Les larmes ont commencé à couler. Je n’entendais pas la voix qui m’appelait. Il fallait que je sorte au plus vite de cette endroit. J’étouffais. Vite la porte. Vite l’extérieur. Enfin je respirais. Mais je continue à courir. Courir loin. Courir vite. Courir loin de cette boite. Courir loin de lui.
Le vent frappait mon visage. Un vent froid. Et j’étais sortie en débardeur. Mais avec l’alcool et ma course, le froid ne me gagnait pas.
A bout de souffle, je m’arrête. Alors que je tente de reprendre ma respiration un taxi s’arrête devant moi. Je monte. Je ne sais même pas où je suis. Je rentre à la maison. Par la fenêtre je vois défiler les rues de Hambourg. Les larmes ont cessé de couler. Alors que le paysage défile, je me perds dans mes pensées. Pourquoi Georg a-t-il réagit comme ça ? Je ne comprends rien. Il veut qu’on soit amis, mais sa réaction de ce soir est bien excessive. Je ressasse tout ça dans ma tête. Plus je réfléchis, moins je comprends. Puis je prends brusquement conscience de la nuque du chauffeur de taxi, du bruit monotone du moteur et du crépitement de la pluie sur le toit de la voiture. Le feu passe du rouge au vert, et je suis seulement si fatiguée… Ces rues désertes aux trottoirs mouillés, quelles sont tristes ces rues. Sortir. Se coucher tard. Tout ce monde. Et cette sensation de brûlure à la poitrine. J’ai du mal à respirer. Je n’ai envie de rien, je ne sais pas quoi faire. Je ne veux pas dormir, je ne veux pas rester éveillée. Je ne veux pas être seule, je ne veux voir personne. J’ai l’impression d’être en sursis. Je suis grisée par l’alcool.
La taxi s’arrête. Je paie. Situation banale. Soirée terminée. Soirée bien différente d’une autre. J’étais avec lui. Cette nuit je suis seule.
Je ne peux me résoudre à entrer dans la maison. En face de la batisse un bac. Je m’y assois. Maintenant j’ai froid. Je grelotte. Mais je ne veux pas rentrer. J’entends des pas se diriger vers moi. Je ne bouge pas. J’ai froid. Toujours aussi froid. La personne dépose sa veste sur mes épaules. Je ne me retourne pas. Je ne bouge pas. C’est lui. Georg. Il s’assoit à mes côtés. Me serre dan ses bras. Il m’embrasse sur le front. Une larme roule sur ma joue. Une larme de plus. Une larme de trop ? Et puis une autre. Je n’arrive pas à les retenir, c’est le trop plein des émotions contraires qui bouillonnaient en moi qui s’épanche sans que je puisse rien y faire. Trop vécu trop jeune, et trop seule. Je veux qu’on s’occupe de moi. J’ai besoin de quelqu’un. De lui. Il est là. Mais pourquoi ?
On cherche l’amour, on croit le trouver. Puis on retombe. De haut. Mieux vaut tomber que ne jamais s’élever. Mais j’ai trouvé l’amour. Je le sais. C’est lui. Mais… lui, que veux t-il de moi ?
Ses bras m’enserrent et annihilent ma détresse. Je sens une caresse dans mes cheveux, sur mes yeux qui me brûlent, sur mes joues inondées, sur mes lèvres. Je ne sais plus pourquoi je pleurais. Je ne pleure plus. Plus vraiment ? Il est là maintenant. C’est ce qui importe. Mais ça coule toujours. C’est parce que je ne peux pas l’arrêter. Je suis si bien. Dans ses bras. L’espoir renaît du fond du gouffre.
Georg : Pardonne-moi. Je t’aime…
Peut-être que ce sont des larmes de joie…

C'est trop beau comme histoire.
*se retiens de pleurer*
Tu décris si bien leurs sentiments que je les comprends =).

Purée..Je vais pleurer ! =')
C'est magnifique ma Twin t'a trop un talent ! J'adore trop !

bon alors tu la met cette suite?lool!
allez

Heu t'as lu la suite que j'ai posté ce week?
Sinon pour la suite, ben ça sera pas avant le premier week de février :s

bah bien sur que je l'ai lue!!!mais j'avais envie d'en lire encore!je suis à court de fics sympas,bien écrites,détaillées et sans fautes!!!
au secours j'ai pu rien à lire!lol

Je vais peut-être te sauver alors, je suis en train d'écrire une autre fic avec quelqu'un et en attendant je peux te donner l'adresse de sa fic (j'ai eu un vrai coup de coeur) : http://yttria.skyrock.com/

oh merci!j'irai voir ça! merci!!!!!

j'ai édité!en effet j'adhère!j'ai pas fini mais pour l'instant c'est génial!

Je sais depuis un peu longtemps que t'as beaucoup de talent pour l'écriture mais là... waw!!!!!!!!!! C'est la 2ème fanfiction que je lis et qui me plaît autant!

c'est trop beau!!vivement la suite!
T'es trop forte!!

ouais hein?quand?lol! je veux une souite ti de souite!!!!!!!!

Va falloirs que je me mette à lire ta fic ma chérie!
Je dois avouer que je ne l'ai toujours pas fait.. Pas le temps! --'

bitte,il nous faut une suite!!!!
Je sais que c'est pas facile,mais je l'attends avec impatience en tout cas!!!
Et encore BRAVO!! Smile

vanou!!! elle est juste magnifique la fic de maï!!!! prends 5min elle vaux trop le coup!

Bah oui je vais essayer de la lire parce que vu toute les critique positive..
Ca me donne vraiment envie! =)

Merci les gens pour vos message, ça fait vraiment plaisir =)
Je suis contente qu'elle vous plaise ma fic.
Sinon, j'ai écrit la suite, mais je ne sais pas si je l'arrete là où je me suis arrêté ou si je continue encore un peu.
Donc peut-être que vous aurez la suite aujourd'hui ou demain si j'arrive à me décider ^^

Trop cool!!ca serai SUPER!! Very Happy

comme tu veux si tu juge que la fin est bien arrete la là!mais t'en attaque une autre aussi mdr!nan mais j'ai hate!

Bon allez, je vous mets ça tout à l'heure les enfants !
Avant 18h normalement sinon ça sera à 21h.

alélluiaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!j'avais plus rien à lire merci Maï chéwie!

Bah dis dont va falloir que je me magne de tout lire moi! ^^

KAPITEL SIEBEN : Dich und mich

Le soleil se lève. La lueur du jour voit naître un nouveau couple.

Tous deux enlacés. Ils dorment paisiblement. Une onde de bonheur émane de leurs corps étendus. Deux corps l’un contre l’autre. Des doigts emmêlés. Des cheveux éparpillés sur les oreillers. Un sourire flottant sur leurs visages.

Le tableau de deux amoureux. C’est beau. C’est simple. Il suffit de les observer pour voir que ces deux là s’aiment. Même en dormant.

Un coup de foudre. Un coup de cœur.

Une histoire qu’ils écrivent sans le savoir. Le prologue et le premier chapitre sont écris. Nous en sommes au second. Combien d’autres seront écris ? Quelle sera la chute à leur histoire ?

Ne nous soucions donc pas de demain. Leb’ die Sekunde ! Vivre l’instant présent. Profitez de la vie. Oui, mais jusqu’où ?

Hell et Georg sont à mille lieux de se poser des questions.

[ Point de vue de Hell ]

Un rayon de soleil chatouille mon visage. Doucement j’ouvre les yeux. Georg m’observe, un sourire sur ses lèvres.

Georg : Bonjour toi.

Pour toute réponse, je lui souris à mon tour. J’avais peur de me réveiller. Peur qu’il ne soit plus là. Comme la nuit précédente. Mais il est là. Tout allait être différent maintenant. Il est là. En seulement deux jours ma vie a totalement changée. Elle a pris un nouveau tournant. Demain se présente plutôt bien. Enfin je vais pouvoir être heureuse.

[ Fin du point de vue de Hell ]

Georg : Tu sais, pour hier… ce qu’il s’est passé…

Hell : Chut.

Georg : Je suis vraiment désolé…

Hell : Chut !

Pour le faire taire elle pose un doigt sur sa bouche.

Hell : Laisse hier derrière toi. Si il y a bien une chose que j’ai apprise, c’est qu’il faut parfois ne pas ressasser ce qu’il s’est passé la veille. Laisse au passé ce qui est au passé. On en a parlé cette nuit. Tu m’as expliqué. Je ne t’en veux pas. Mais n’oublie pas ta promesse.

Comment pouvait-il l’oublier. Cette promesse. Jamais il ne la brisera.

[ Flash Back ]

Georg : Je t’aime …

Peut-être que ce sont des larmes de joie.

Hell ne dit rien mais se blottit dans ses bras.

Georg : Je suis désolé Hell. Si tu savais… Dès le premier regard je savais que c’était toi… Qu’avec toi je voulais vivre quelque chose de fort et de sérieux… Malgré ce que certains pouvaient penser… J’étais prêt à me battre pour être avec toi... Et la nuit dernière… La plus belle nuit. Dans tes bras… Mais au réveil j’ai compris que si l’on était ensemble, cela créerait des problèmes… Notamment avec Bill… Bill es tellement protecteur avec toi… Une sœur qu’il chérit et protége… Il ne me faisait pas confiance, bien que je sois son ami. Il me voyait simplement comme un garçon capable de te faire souffrir… Il ne veut pas que tu souffres encore. Je le comprends. Je ne veux pas que tu souffres non plus…

Hell : Je veux être avec toi…

Georg : Moi aussi. Mais laisse moi finir. Bill serait prêt à tout pour toi. Pour que tu sois heureuse. Il a eu peur. Je n’ai pas réussi à le rassurer. Toi seule le pourras… Mais voila, hier matin, si je n’étais plus là, c’est que je me suis engueulé avec Bill. C’est pour ça que je t’ai écrit cette lettre… Et je suis parti. Triste. Blessé. Mal. Malheureux. Je ne cessai de penser à toi. A ce que nous aurions pu vivre… Le soir on devait tous sortir. Je ne voulais pas. Tu serais là. J’ai bu… Trop. J’ai suivi cette fille… J’ai déconné Hell. Mais quand je t’ai vu avec ce mec, mon sang n’a fait qu’un tour. C’était plus fort que moi… Je t’aime…

Hell : Bill a eu peur pour moi. Je le comprends, et toi aussi. Il ne sait pas ce que je ressens pour toi. Mais il comprendra. Il sera heureux si il me voit heureuse. Je lui parlerai demain matin.

La pluie avait cessée. Ils étaient là. Tous les deux. Sur un banc. Dans l’ombre de la nuit. Ils n’avaient pas besoin de parler. Leurs sentiments dépassaient les mots.

Hell : Je me sens en sécurité avec toi. J’ai besoin de toi Georg.

Georg : Je serais toujours là pour toi. Je te le promets.

Hell vint alors poser ses lèvres sur celles de celui qu’elle aimait.

[ Fin du flash back ]

Georg : Je vais te laisser avant que les garçons ne se lèvent.

Hell : Oui. Je vais leur parler t leur dire pour nous deux.

Georg : Ok, appelle moi après princesse.

Il lui déposa un baiser sur le front, récupéra ses affaires et parti.

Hell souriait. Hell était heureuse.

Sans se presser elle se leva, prit sa douche et s’habilla d’un slim rouge et d’un bustier noir.

Elle descendit ensuite à la cuisine. Elle retrouve les jumeaux en train de prendre leur petit déjeuner. Quand elle entra, ils cessèrent de parler. Hell se servit un café et s’installa à table.

Bill : Comment vas-tu ? On s’est inquiété !

Hell : Je vais merveilleusement bien.

Tom : Mais… hier …

Hell : A ce propos, je dois vous parler.

Bill & Tom : On t’écoute.

Hell : Bill, je sais que tu as parlé à Georg. Tu as voulu me protéger, et je t’en suis vraiment reconnaissante. Mais voila, je suis amoureuse. Tu ne le savais pas. Moi non plus. Je ne pensais pas que ça m’arriverait maintenant et surtout si vite. Je veux que tu saches que je me sens bien avec Georg, que je me sens en sécurité et en confiance avec lui. Et tu sais que ce n’est pas dans mes habitudes de m’attacher aux gens ou de leurs faire confiance. Mais lui c’est différent. Il arrive à me faire oublier mon passé. Alors voila, je suis heureuse. Je sais que tout les deux vous voulez que je le sois. Donc je tenais informer les premiers que je suis avec Georg.

Hell redoutait la réaction de Bill. Tom, lui, avait vu qu’elle était heureuse avec Georg. Il était content pour elle.

Bill : Ho Hell…

Il se leva et la serra fort dans ses bras.

Bill : Je t’aime petite sœur.

Hell : Moi aussi.

Tom : Je suis content que tu sois enfin heureuse. Tu le mérites. Tu souris de nouveau à la vie et ça fait du bien. Mais permets moi de te demander ce qui c’est passé hier soir avec Georg, vu l’histoire en boite…

Hell : Georg m’a retrouvé à la maison et on a parlé. Beaucoup parlé.

[ … ]

La matinée passa. Tout allait pour le mieux. La vie était belle. Le soleil avait enfin repris sa place dans la vie de Hell. Dans son cœur aussi. Ce soleil c’était posé sur ses lèvres. Elle souriait. Une lumière au fon des yeux. Heureuse et amoureuse. Elle était la joie de vivre des jumeaux. Tous trois étaient ressortis plus fort et plus proche que jamais de tout ça. A la vie à la mort. Ils étaient tout pour Hell. Hell était tout pour eux. Ils pouvaient tout se dire. Ils étaient là les uns pour les autres. Ils le seraient toujours. Le lien qui les unissait était rare. Ils le savaient. Ils en avaient conscience. Il fallait le converser. Ce lien. Lien si particulier. Si fort.

En cet instant il ne pensait pas à l’avenir… Peut-être auraient-ils dû. Peut-être qu’ Hell aurait dû y penser…

Moi j'lavais djà lue en avant première =D et j'tai djà dit c'que j'en pensait !! J'aime vraiment trop bicoup j'suis à fond dedand !! =D La souite jla veux!!